Ambassadeurs 2025 : Julie

Présentation

Je m’appelle Julie Guyon, j’ai 23 ans et actuellement je suis étudiante en alternance en Master 2 en école de commerce. Je fais mon alternance en logistique et achats chez Intermarché.
Je monte à cheval depuis que j’ai appris à marcher et j’ai commencé les compétitions à 9 ans et je n’ai jamais lâché depuis.

Raconte moi ton parcours équestre

Comme beaucoup j’ai commencé en club très jeune, puis je suis allée dans une écurie de compétition où j’ai découvert le circuit poney et le circuit Tournée des As. J’ai fait du poney jusqu’à mes 16 ans et ensuite mes parents m’ont acheté mon premier cheval, Bibi Trèfle. Vers 17/18 ans j’ai donc commencé le circuit amateur. Puis, quelques années plus tard j’ai dû vendre Bibi, pour pouvoir en acheter un autre et faire des épreuves plus hautes. C’est là que j’ai rencontré Deeplove, il y a presque 4 ans maintenant.
Au départ il ne m’était pas destiné, c’était un cheval de commerce à mon père et finalement je l’ai récupéré pour faire le circuit amateur et depuis on tourne sur des épreuves Amateur 1 avec pour objectif de faire Amateur Elite dans quelques temps.

Parle-moi de ton cheval

Deeplove la Chesnais, comme je l’ai dit juste avant, ne m’était pas destiné initialement. Mes parents l’ont acheté en tant que cheval de commerce, il a donc été valorisé par Alexis Champion mon ancien coach.

Quand il a fallu vendre Bibi, on avait Deeplove en parallèle qui était chez Alexis. Ce dernier me connaissant très bien, il a pensé que Deeplove pouvait me convenir donc je l’ai essayé. Honnêtement, au début ce n’était pas le coup de cœur. Mais finalement plus je le montais, plus je le découvrais et plus on créait une relation et on a commencé à vraiment bien s’entendre. J’ai donc décidé de le garder pour moi et on a commencé les concours.

On a eu beaucoup de hauts et de bas, surtout au début quand Deeplove était chez Alexis Champion en Normandie et que moi j’habitais en région parisienne. Je pouvais aller monter que le weekend donc la relation était compliquée, j’avais du mal à créer une complicité avec lui. C’est un cheval qui a besoin de connaitre son cavalier et j’ai l’impression qu’on était un peu comme des inconnus donc il s’arrêtait, je me prenais beaucoup de refus en concours. Et quand notre relation a commencé à vraiment se détériorer je me suis dit que ça ne pouvait plus continuer comme ça et qu’il fallait que je ramène Deeplove près de moi. Donc je l’ai ramené dans des écuries proches de chez moi, je connais les propriétaires depuis 10 ans donc je savais que je le mettais dans une bonne maison.

Et là ça a été la révélation, c’était il y a presque 2 ans maintenant, on a commencé à très bien se connaitre. Je le montais beaucoup plus régulièrement et ma coach le travaillait en parallèle. On a commencé à performer et on a pu monter dans les épreuves. Je faisais de la 105/110 et aujourd’hui j’ai commencé à faire 110/115/120 et même à classer mes premiers GP Amateur 1 et maintenant on enchaine les belles saisons. On ne connait plus cette période de trou où on ne se comprend plus. On a une relation assez fusionnelle et je pense que c’est ça qui fait la différence aujourd’hui en piste.

Pour parler un peu plus de lui, Deeplove est un cheval à la tête froide. Il est assez compétiteur comme moi, je pense que c’est pour ça que ça match autant. Il est hyper intelligent, il n’a pas besoin d’être travaillé longtemps il comprend très vite ce qu’on attend de lui. C’est un cheval qui a du métier maintenant, il a 12 ans donc il connait son job. Ça compense mon côté impatiente parce qu’il me donne ce que je veux assez rapidement. Il a aussi ses parts de doutes et il a besoin de sentir qu’on est avec lui, s’il sent qu’on est là qu’à moitié il ne va pas aller en piste avec toi. Il demande une certaine rigueur, c’est la qualité de son défaut, ça me permet de devenir une cavalière plus précise et plus présente.

Au quotidien, Deeplove est très facile, il n’a pas peur de grand-chose. Aujourd’hui, il fait du pré/box, ça a été un changement de vie pour lui parce qu’avant il était en 100% box et faisait du marcheur. Et je pense aussi que c’est ça qui a fait qu’il y a 2 ans il a repris confiance en moi, parce que je l’ai emmené dans un environnement qui lui correspondait plus. Il adore être dehors avec des copains. C’est un cheval qui aime tous les chevaux, il est très gentil et hyper affectueux.

J’ai rarement eu un cheval aussi gentil dans ma vie, il veut toujours bien faire et il fait tout pour son cavalier. C’est probablement le meilleur que j’ai pu avoir.

Quel est ton meilleur souvenir équestre ?

C’était à mes 14 ans, quand j’ai été vice-championne de France à Lamotte Beuvron avec Kalife des Genets à l’époque, c’était en Poney 1 C.

Qu’est-ce que le fait d’être ambassadrice apporte à ta saison ?

Ça ne fait pas longtemps que je suis ambassadrice Cavalassur, toutefois je suis quand même cliente depuis très longtemps. Ce que je peux dire de mon expérience client c’est que j’ai toujours était satisfaite, ils m’ont toujours épaulée dans tous les problèmes que j’ai pu rencontrer avec mon cheval. Cavalassur a toujours su nous accompagner de la meilleure des manières donc je suis très contente de la relation que j’ai avec eux.
Pour moi c’était une évidence de participer à la campagne ambassadeur, c’était la suite logique. Représenter une marque qui a les mêmes valeurs que moi et en qui on a confiance c’est toujours valorisant.
Je trouve que porter les couleurs d’un partenaire comme Cavalassur en concours ça fait son effet, ça montre que des grosses marques peuvent nous faire confiance. C’est assez sympa.

Que serais-tu si tu étais…

Un cheval  : Deeplove la Chesnais
Un cavalier  : Julien Epaillard, j’ai tout autant envie que lui de gagner
Une qualité : Compétitrice
Un défaut : Impatience
Un concours : Les Championnats de France Amateurs au Mans
Un hobby  : Le tennis
Un rêve  : Être championne de France

Retrouvez Julie et Deeplove sur Instagram : @juliegyn.jump